Larmes corps
Des pleurs
regard asthmatique sur bitume fondu
Des leurres
comme un soupçon de retour fané
Mon coeur
vie de damné sur parterre ambulant
Tu meurs
et juste le jour pour t'ensoleiller
Sur ce bar ou la vie s'éloigne
tes yeux dans un miroir sans tain
qui étreignent encore le vide du soir
ou je tire la langue comme un chien
Je suis un clébard
Putain !
Je suis ton miroir
Reviens !
J'écris et j'écris encore
Personne ne mérite ce vain
J'abreuve et j'abreuve encore
Vomir le trop plein de vin
Je meurs enfin
de presque rien
je meurs a jeun
d'un presque rien
Reviens putain
reviens
Ta chatte putain
enfin !