Foutre.
Je répands sur tes seins,
Mon jus de bébé mort,
Comme une dernière salve, de ce qui nous reliait,
Nous baisons, agonie,
Sans savoir si demain, sera un autre jour,
Sans savoir si demain,
Sera une autre nuit,
J'embrasse ton nombril,
Un souvenir prégnant de ton corps androgyne,
Qui se courbe parfois, dans des poses de jouissance,
Je retiens mon orgasme,
Et je livre l'écume, des souvenirs amers,
Qui jamais ne me quitte,
J'embrasse si souvent, ton crâne sans cheveu, et il résonne encore,
Tes murmures d'extase.