Terrasser
Et descendre des verres,
Comme accomplir sa vie,
L'ennui est un alcool, une vision de l'ivresse,
Et je baise vos sœurs, et j'embrasse vos mères,
Pendant que vous mirez, vos gueules d'anges dans le miroir,
Je me fous de vos mots,
J'aligne les digestifs avant de boire les chattes de vos femmes un peu lasses,
Je ne sais rien de moi,
Je devine tout de vous, de vos gueules insolentes,
Nos combats sont des leurres car nous finirons cendre,
Mais je devine la vie, plus que je ne la consume.