Renoncements
Ainsi vient ton soupir,
Une agonie si lente,
Que de vagues désirs, animent encore tes yeux,
Mais c’est tout de même la mort,
Qui nous cerne de partout,
Comme un torrent de lames, aiguisées et prégnantes,
Une envie de l’azur ne suffira même plus,
A dompter ton errance,
Je te devine morte, comme si ton oxygène,
Ne te suffisait plus,
Et tu ne le sais pas,
Mais ton âme est éteinte,
Conjugues a l'imparfaite.