De nos nuits.
Comme je m'ennuie, toujours, comme je m'épie,
A l'affut de mes rêves,
En douleurs surannés,
Comme des torrents sans sève,
De vieux arbres oubliés,
Dormir est un supplice,
Apaiser les cauchemars, rien ne vient plus vers moi,
Je pleure parmi la nuit,
Et j'aimerais parfois que nos vies se souviennent,
Ce que nous ne fumes pas,
Ce que nous ne serons plus.