Au rythme de ta voix
Je devine tes yeux,
Et ton rire de cristal,
Tu marches sur ce fil, tu éteinds les supplices,
C'est toi la magicienne, qui se meut si légère,
Comme une enfant sans but,
Souriante, irréel,
Trépidante et vivante,
Et ta main se balance que j'essaie d'attraper,
Ton coeur est un volcan, qui brûle pour tant de gens,
Qui accueille la douleur, s'imprégne du tourment,
Ton âme est sans limite,
On aimerait parfois que le soleil se couche pour te laisser souffler,
Que la fureur retombe,
Et puis quand elle s'en va,
La prégnance de l'absence,
Et comme une douleur crue,
Une dérive inconnue.